Manuel Valls se lamente à propos de l’irrésistible montée du Front national qu’il craint de voir franchir, en 2017, les portes de l’Elysée.
Mais ce sont les causes et non les conséquences qu’il faut débusquer et disqualifier pour en détourner durablement les esprits.
Je crains fort qu’un tel labeur soit au-dessus des forces de ceux qui, depuis quarante ans, ont patiemment forgé une telle issue.
“J’aime mieux une armée de moutons commandée par des lions qu’une armée de lions commandée par des ânes” (Maréchal Joffre).
Cela fait donc quatre décennies que la France est commandée par des ânes; une posture qui, aujourd’hui, nous vaut un FN en majesté.
Librement !
Philippe S. Robert
02400 FRANCE
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